GAEC DE LA BOUILLÈRE (MARIGNÉ – 49)

marqueur Doizieux Marigné (49)

🐄 Elevage

Installation en GAEC

107 000 €

50% des parts du GAEC (cheptel, bâtiments, matériel agricole)

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GAEC DE LA BOUILLÈRE (MARIGNÉ – 49)

🐄 Elevage

Installation en GAEC

107 000 €

50% des parts du GAEC (cheptel, bâtiments, matériel agricole)

Présentation de la ferme

Le GAEC de la Bouillère est ancré depuis 1983 dans la région Pays-de-la-Loire. Idéalement situé entre Château-Gontier, Angers et Laval, la ferme de 185 hectares cherche un nouvel associé ! Frédéric et Stéphane, les deux associés sortants, ont à cœur de se trouver un successeur pour perpétuer les activités du GAEC, en duo avec Thomas.
Deux productions animent la vie de cette exploitation : l’élevage bovin lait et l’élevage ovin viande. Pour la partie bovin lait, la ferme compte 120 vaches Holstein, pour une production de presque 1 million de litres de lait par an. Pour la production ovine, ce sont 220 brebis vendéennes en croisement charolais. La production ovine permet d’optimiser et valoriser les prairies par un pâturage tout l’hiver.
Les 185 hectares de SAU de cette exploitation sont répartis entre les 40 ha de cultures céréalières, les 40 ha de maïs ensilage, les 7 ha de luzerne et enfin les 98 ha de prairies dont 37 ha de prairies permanentes.
Les performances de l’exploitation offrent une belle rémunération à chacun des associés, tout en leur permettant de libérer du temps libre pour profiter de leurs loisirs.
Au passage de 3 à 2 associés, des changements seront à prévoir, en passant notamment par la réduction de la taille du cheptel. Les deux départs ne pourront pas être compensés par une seule arrivée, l’objectif sera donc de réduire la production afin de devenir plus extensif et autonome. L’organisation se fera entre les deux associés selon les goûts et les préférences de chacun.
Ce qui fait la force de ce GAEC aujourd’hui, c’est l’amour pour les animaux que partagent les associés. Le soin apporté aux animaux est un élément primordial que l’exploitation tend à conserver.

Ce qu’ils recherchent

Le GAEC de la Bouillère est à la recherche d’un nouvel associé animé par l’élevage. Frédéric et Stéphane, qui partent tous deux à la retraite, aimeraient permettre à Thomas de continuer l’aventure en GAEC. L’objectif est de perpétuer les deux élevages ovins et bovins sur l’exploitation, en adaptant la taille du cheptel en fonction des nouvelles dispositions du GAEC.
Les associés actuels sont ouverts à tous types de profils, dès lors que les candidats aiment l’élevage. La polyvalence est également une qualité à avoir pour pouvoir participer aux différentes tâches de la ferme.
Actuellement, la logique ferait que le nouvel associé serait plus amené à s’occuper de la partie laitière, tout en participant à l’atelier ovin ainsi qu’aux tâches liées aux cultures avec Thomas.
À l’unanimité, Thomas est un agriculteur très facile à vivre et « l’entente entre le nouvel associé et lui se fera sans souci ».

approche
Agroécologique

Les associés du GAEC de la Bouillère s'engagent à pratiquer une agriculture plus durable. Une faible utilisation d'intrants et du recours au désherbage mécanique en témoignent. De plus, le système de l'exploitation comporte une part très importante d'herbe, tout en sachant qu'il tend vers une évolution encore plus herbagée, avec notamment la diminution du nombre de vaches laitières. Enfin, la mise en place de luzerne depuis trois ans contribue également à ces pratiques agroécologiques. À l'arrivée du nouvel associé, de nouvelles pratiques d'autant plus vertueuses pourront être mises en place pour continuer les actions déjà menées en ce sens.

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Conditions d’installation

Marigné (49) 184 ha
🐄 Elevage
2500€/mois. 2 week-ends sur 3 off. Installation 2025.

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« Pour moi, c’était indispensable d’être en GAEC ! »

MODALITÉS D’INSTALLATION

Installation dans le GAEC par acquisition de 50% des parts sociales.
Salaire : 2 500€/mois.
Astreinte : un week-end sur 3 complètement libre du vendredi soir au lundi matin + 1 week-end sur 3 est assuré avec un travail uniquement le matin, qui permet d’être libéré à 10h.

Les parts sociales du GAEC comprennent :
– Cheptel (120 vaches laitières, 220 brebis et agnelles et 120 génisses laitières)
– Bâtiment (Stabulation vaches laitières et génisse + salle de traite rotative)
– Matériel agricole (tracteurs, télescopique…)

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« Ce qui pourrait donner envie à un jeune de venir dans notre exploitation, c’est notre cheptel, nos animaux, notre cadre de travail, notre équipement et du temps aussi pour faire autre chose. »

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185

hectares de SAU

120

vaches laitières

220

brebis vendéennes en croisement charolais

Présentation de la ferme

Le GAEC de la Bouillère est ancré depuis 1983 dans la région Pays-de-la-Loire. Idéalement situé entre Château-Gontier, Angers et Laval, la ferme de 185 hectares cherche un nouvel associé ! Frédéric et Stéphane, les deux associés sortants, ont à cœur de se trouver un successeur pour perpétuer les activités du GAEC, en duo avec Thomas.
Deux productions animent la vie de cette exploitation : l’élevage bovin lait et l’élevage ovin viande. Pour la partie bovin lait, la ferme compte 120 vaches Holstein, pour une production de presque 1 million de litres de lait par an. Pour la production ovine, ce sont 220 brebis vendéennes en croisement charolais. La production ovine permet d’optimiser et valoriser les prairies par un pâturage tout l’hiver.
Les 185 hectares de SAU de cette exploitation sont répartis entre les 40 ha de cultures céréalières, les 40 ha de maïs ensilage, les 7 ha de luzerne et enfin les 98 ha de prairies dont 37 ha de prairies permanentes.
Les performances de l’exploitation offrent une belle rémunération à chacun des associés, tout en leur permettant de libérer du temps libre pour profiter de leurs loisirs.
Au passage de 3 à 2 associés, des changements seront à prévoir, en passant notamment par la réduction de la taille du cheptel. Les deux départs ne pourront pas être compensés par une seule arrivée, l’objectif sera donc de réduire la production afin de devenir plus extensif et autonome. L’organisation se fera entre les deux associés selon les goûts et les préférences de chacun.
Ce qui fait la force de ce GAEC aujourd’hui, c’est l’amour pour les animaux que partagent les associés. Le soin apporté aux animaux est un élément primordial que l’exploitation tend à conserver.

Ce qu’ils recherchent

Le GAEC de la Bouillère est à la recherche d’un nouvel associé animé par l’élevage. Frédéric et Stéphane, qui partent tous deux à la retraite, aimeraient permettre à Thomas de continuer l’aventure en GAEC. L’objectif est de perpétuer les deux élevages ovins et bovins sur l’exploitation, en adaptant la taille du cheptel en fonction des nouvelles dispositions du GAEC.
Les associés actuels sont ouverts à tous types de profils, dès lors que les candidats aiment l’élevage. La polyvalence est également une qualité à avoir pour pouvoir participer aux différentes tâches de la ferme.
Actuellement, la logique ferait que le nouvel associé serait plus amené à s’occuper de la partie laitière, tout en participant à l’atelier ovin ainsi qu’aux tâches liées aux cultures avec Thomas.
À l’unanimité, Thomas est un agriculteur très facile à vivre et « l’entente entre le nouvel associé et lui se fera sans souci ».

approche
Agroécologique

Les associés du GAEC de la Bouillère s'engagent à pratiquer une agriculture plus durable. Une faible utilisation d'intrants et du recours au désherbage mécanique en témoignent. De plus, le système de l'exploitation comporte une part très importante d'herbe, tout en sachant qu'il tend vers une évolution encore plus herbagée, avec notamment la diminution du nombre de vaches laitières. Enfin, la mise en place de luzerne depuis trois ans contribue également à ces pratiques agroécologiques. À l'arrivée du nouvel associé, de nouvelles pratiques d'autant plus vertueuses pourront être mises en place pour continuer les actions déjà menées en ce sens.

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Thomas – Troupeau de vaches laitières et cultures

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Thomas, 37 ans, est associé au GAEC de la Bouillère depuis 2013. Après avoir expérimenté l’élevage et les cultures à l’étranger, il décide de s’installer avec son père et son oncle à Marigné. Passionné par son métier, le vivant le fait vibrer et rend ses jours uniques et toujours différents. De nature très amicale et sympathique, Thomas aime le partage et les échanges, c’est pourquoi s’installer en GAEC était essentiel pour lui. Aujourd’hui, il a à cœur de trouver un nouvel associé polyvalent avec lequel il pourra partager sa passion.

Stéphane – Troupeau ovin et cultures

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Stéphane, le plus ancien des associés du GAEC, est installé depuis 1983 à la Bouillère ! Ce passionné des animaux a commencé l’aventure avec son père, avant que celui-ci soit succédé par son frère, pour finalement former un trio avec son fils Thomas depuis 2013. Stéphane est principalement en charge du troupeau ovin, de la partie entretient du matériel mécanique ainsi que des cultures, en duo avec Thomas. Son attachement pour l’élevage se traduit par le soin qu’il apporte aux animaux. Stéphane désire trouver un repreneur pour le remplacer, lui et son frère, qui saura conserver l’amour du vivant qui règne au sein du GAEC.

Frédéric – Troupeau de vaches laitières

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Frédéric, 60 ans, est installé au GAEC de la Bouillère depuis 1994. Il s’occupe de la production de vaches laitières : traite, reproduction, sanitaires, élevage des veaux et élevage des génisses. Comme ces deux associés, Frédéric est passionné par son métier et surtout par les animaux. L’élevage lui tient beaucoup à cœur et ce qui l’anime plus que tout, c’est que chaque jour est différent, qu’il n’y a pas de routine. Il souhaite que le nouvel associé apprécie l’élevage afin de perpétuer au mieux l’activité du GAEC.

Présentation de la ferme

Le GAEC de la Bouillère est ancré depuis 1983 dans la région Pays-de-la-Loire. Idéalement situé entre Château-Gontier, Angers et Laval, la ferme de 185 hectares cherche un nouvel associé ! Frédéric et Stéphane, les deux associés sortants, ont à cœur de se trouver un successeur pour perpétuer les activités du GAEC, en duo avec Thomas.
Deux productions animent la vie de cette exploitation : l’élevage bovin lait et l’élevage ovin viande. Pour la partie bovin lait, la ferme compte 120 vaches Holstein, pour une production de presque 1 million de litres de lait par an. Pour la production ovine, ce sont 220 brebis vendéennes en croisement charolais. La production ovine permet d’optimiser et valoriser les prairies par un pâturage tout l’hiver.
Les 185 hectares de SAU de cette exploitation sont répartis entre les 40 ha de cultures céréalières, les 40 ha de maïs ensilage, les 7 ha de luzerne et enfin les 98 ha de prairies dont 37 ha de prairies permanentes.
Les performances de l’exploitation offrent une belle rémunération à chacun des associés, tout en leur permettant de libérer du temps libre pour profiter de leurs loisirs.
Au passage de 3 à 2 associés, des changements seront à prévoir, en passant notamment par la réduction de la taille du cheptel. Les deux départs ne pourront pas être compensés par une seule arrivée, l’objectif sera donc de réduire la production afin de devenir plus extensif et autonome. L’organisation se fera entre les deux associés selon les goûts et les préférences de chacun.
Ce qui fait la force de ce GAEC aujourd’hui, c’est l’amour pour les animaux que partagent les associés. Le soin apporté aux animaux est un élément primordial que l’exploitation tend à conserver.

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Le troupeau de vaches laitières du GAEC de la Bouillère cherche un repreneur !

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Date d’installation

Courant 2025

Profil

1 associé polyvalent

Modalité

Période de stage ou de salariat avant installation

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Aujourd’hui l’atelier laitier est plus particulièrement géré par Thomas et Frédéric. Cependant, cela va évoluer suite au départ de Frédéric. Le nouvel associé sera amené à prendre plus particulièrement en charge cet atelier, surtout s’il reprend la maison sur le site. Thomas quant à lui, sera sur le site ovin.
Actuellement, l’atelier laitier représente 120 vaches laitières Holstein qui produisent une quantité de presque 1 million de litres de lait par an. La taille de ce cheptel sera revu à la baisse à l’arrivée du nouvel associé afin de s’adapter à la réduction de main d’œuvre et d’améliorer l’autonomie fourragère et protéique du système, passant ainsi sur une production plus extensive.
La partie administrative et comptable étant pour partie gérée par Frédéric, devra faire l’objet d’une nouvelle répartition.

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« L’avantage avec les animaux, c’est que ça change tous les jours. Il n’y a pas de routine, c’est une passion. »

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Ce qu’ils recherchent

Le GAEC de la Bouillère est à la recherche d’un nouvel associé animé par l’élevage. Frédéric et Stéphane, qui partent tous deux à la retraite, aimeraient permettre à Thomas de continuer l’aventure en GAEC. L’objectif est de perpétuer les deux élevages ovins et bovins sur l’exploitation, en adaptant la taille du cheptel en fonction des nouvelles dispositions du GAEC.
Les associés actuels sont ouverts à tous types de profils, dès lors que les candidats aiment l’élevage. La polyvalence est également une qualité à avoir pour pouvoir participer aux différentes tâches de la ferme.
Actuellement, la logique ferait que le nouvel associé serait plus amené à s’occuper de la partie laitière, tout en participant à l’atelier ovin ainsi qu’aux tâches liées aux cultures avec Thomas.
À l’unanimité, Thomas est un agriculteur très facile à vivre et « l’entente entre le nouvel associé et lui se fera sans souci ».

approche
Agroécologique

Les associés du GAEC de la Bouillère s'engagent à pratiquer une agriculture plus durable. Une faible utilisation d'intrants et du recours au désherbage mécanique en témoignent. De plus, le système de l'exploitation comporte une part très importante d'herbe, tout en sachant qu'il tend vers une évolution encore plus herbagée, avec notamment la diminution du nombre de vaches laitières. Enfin, la mise en place de luzerne depuis trois ans contribue également à ces pratiques agroécologiques. À l'arrivée du nouvel associé, de nouvelles pratiques d'autant plus vertueuses pourront être mises en place pour continuer les actions déjà menées en ce sens.

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Pourquoi rejoindre cette ferme ?

Une gestion des investissements réfléchie, qui permet de se rémunérer correctement

La très bonne gestion des associés a permis de ne pas sur-investir dans les bâtiments et le matériel. Grâce à une grande partie du travail assuré en CUMA, seuls les tracteurs et le télescopique sont en propriété. Les associés se permettent de se prélever un salaire de 2 500 € par mois chacun.

La complémentarité des ateliers ovins et bovins

L’atelier ovin permet d’apporter une sorte de sécurité au système, notamment grâce à la rentrée d’argent différente, l’amélioration de la gestion des prairies et l’optimisation de la gestion du travail.

L’animal au cœur des préoccupations

Les exploitants de ce GAEC ont à cœur de mettre l’élevage et l’animal au centre de leur système de polyculture élevage. Les 3 associés expriment un amour inconditionnel pour les animaux, qui se traduit par un soin méticuleux apporté aux vaches laitières et aux brebis.

L’équilibre entre la vie pro et la vie perso

Les associés prennent soin de maintenir le bien-être de chacun. Ils ont mis en place un système de gestion du temps qui permet d’avoir un week-end sur 3 complètement libre du vendredi soir au lundi matin. De plus, 1 week-end sur 3 est assuré avec un travail uniquement le matin, qui permet d’être libéré à 10h. Grâce au GAEC, les exploitants ont à tout moment la possibilité de s’absenter en semaine si le besoin s’en fait sentir. Les bases solides d’aujourd’hui permettront d’accueillir sereinement un nouvel associé et d’imaginer un nouvel équilibre à 2.

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Le futur de la ferme

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L’orientation vers une baisse de production sur l’atelier laitier permettra d’améliorer l’autonomie fourragère et protéique du système, et permettra de favoriser la bascule vers un GAEC à deux associés. L’augmentation de la surface en herbe et en légumineuses pourrait également contribuer au projet d’agroécologie du GAEC. Pour finir, Thomas, l’associé restant, est très ouvert à l’évolution du système qui pourra être proposé par le nouvel associé.

Présentation de la ferme

Le GAEC de la Bouillère est ancré depuis 1983 dans la région Pays-de-la-Loire. Idéalement situé entre Château-Gontier, Angers et Laval, la ferme de 185 hectares cherche un nouvel associé ! Frédéric et Stéphane, les deux associés sortants, ont à cœur de se trouver un successeur pour perpétuer les activités du GAEC, en duo avec Thomas.
Deux productions animent la vie de cette exploitation : l’élevage bovin lait et l’élevage ovin viande. Pour la partie bovin lait, la ferme compte 120 vaches Holstein, pour une production de presque 1 million de litres de lait par an. Pour la production ovine, ce sont 220 brebis vendéennes en croisement charolais. La production ovine permet d’optimiser et valoriser les prairies par un pâturage tout l’hiver.
Les 185 hectares de SAU de cette exploitation sont répartis entre les 40 ha de cultures céréalières, les 40 ha de maïs ensilage, les 7 ha de luzerne et enfin les 98 ha de prairies dont 37 ha de prairies permanentes.
Les performances de l’exploitation offrent une belle rémunération à chacun des associés, tout en leur permettant de libérer du temps libre pour profiter de leurs loisirs.
Au passage de 3 à 2 associés, des changements seront à prévoir, en passant notamment par la réduction de la taille du cheptel. Les deux départs ne pourront pas être compensés par une seule arrivée, l’objectif sera donc de réduire la production afin de devenir plus extensif et autonome. L’organisation se fera entre les deux associés selon les goûts et les préférences de chacun.
Ce qui fait la force de ce GAEC aujourd’hui, c’est l’amour pour les animaux que partagent les associés. Le soin apporté aux animaux est un élément primordial que l’exploitation tend à conserver.

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