propriétés équestres à vendre en France



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Propriétés équestres à vendre en France : une filière de passion
Vous cherchez un élevage équin à vendre en France pour lancer votre projet agricole ou vous reconvertir dans un métier de passion ? La filière équine en France offre une diversité exceptionnelle de modèles économiques, allant de l’élevage de chevaux de course à celui de poneys de loisir, en passant par les chevaux de trait ou les races rustiques adaptées aux territoires. Avec plus de 30 000 éleveurs et un million d’équidés répartis sur tout le territoire, l’élevage équin est avant tout une activité ancrée dans les territoires ruraux, au service du sport, du loisir, de la tradition… mais aussi du développement durable.
Se lancer dans l’élevage équin : une activité pour les passionnés du cheval
En France, l’élevage équin se développe autour de trois grands pôles de production : les chevaux de course (trotteurs, galopeurs), les chevaux de sport et de loisir (Selle Français, poneys, races rustiques) et les chevaux de trait (Comtois, Auxois, Percheron…) souvent destinés à la viande, à l’attelage ou aux travaux agricoles. Selon vos aspirations, votre activité pourra viser les concours hippiques, le tourisme équestre, l’équithérapie, la reproduction, ou encore les marchés de l’exportation.
Avec près de 34 500 éleveurs propriétaires de juments saillies, le métier d’éleveur équin implique un suivi pointu du cycle de reproduction, la gestion des pâtures et bâtiments, la promotion et la vente des jeunes chevaux. Les profils les plus courants combinent souvent élevage, valorisation des poulains, débourrage, transport, voire activités d’animation ou d’enseignement pour compléter les revenus. L’élevage équin demande donc de solides compétences en zootechnie, mais aussi une très bonne connaissance du comportement équin.
Acheter une ferme pour l’élevage équin : races, pratiques et territoires
Acheter une exploitation dédiée à l’élevage équin implique de bien connaître les types de chevaux élevés, les infrastructures nécessaires et les spécificités régionales. Certaines zones comme la Basse-Normandie, les Pays de la Loire ou la Bretagne concentrent historiquement l’activité, mais des élevages sont présents dans toutes les régions : montagne, plaine, littoral… selon les races élevées.
Par exemple :
- Le Selle Français, performant en saut d’obstacles, est largement élevé en Normandie.
- Le Trotteur Français nécessite des infrastructures d’entraînement spécifiques (pistes, marcheurs).
- Les poneys rustiques comme le Mérens, le Camargue ou le Henson s’adaptent à des territoires plus contraignants.
- Les chevaux de trait, eux, nécessitent de grandes pâtures et une orientation vers la viande, le travail ou la traction animale.
Selon votre projet, vous pourrez choisir un modèle plus intensif ou extensif, en bio ou en conventionnel, orienté reproduction, valorisation en sport, attelage, tourisme ou même production de lait équin. La polyvalence des usages du cheval ouvre la porte à de nombreuses stratégies d’installation.
Rentabilité et productivité : que peut-on attendre d’un élevage équin ?
La filière équine génère 6 milliards d’euros de chiffre d’affaires, avec des débouchés variés mais une rentabilité très hétérogène selon l’orientation de la ferme. L’élevage de chevaux de course (galopeurs, trotteurs) peut être très rémunérateur mais nécessite des investissements lourds, des relations solides dans le monde des courses, et une technicité pointue.
Les éleveurs de chevaux de sport (Selle Français, Anglo-arabe…) misent souvent sur la valorisation des jeunes chevaux en compétition pour les vendre à bon prix. Le tourisme équestre ou l’équithérapie offrent des débouchés complémentaires plus réguliers mais généralement moins lucratifs. Le marché de la viande équine, bien que marginal, reste une source de revenus pour les chevaux de trait.
Globalement, les élevages équins sont moins rentables que d’autres élevages agricoles, mais leur équilibre économique repose souvent sur la combinaison de plusieurs activités (vente, pension, tourisme, animation, enseignement). Les aides à la conversion, les subventions territoriales, et les filières d’excellence (Label, circuits courts, AOP…) permettent de sécuriser certains modèles.
Quels critères pour acheter une exploitation équestre ?
Acheter une ferme en élevage équin suppose de bien analyser plusieurs éléments essentiels :
- Le foncier : la surface en herbe est primordiale pour limiter les achats de fourrage et assurer le bien-être des chevaux.
- Les bâtiments : écuries, paddocks, abris, salle de poulinage, hangars à foin, râteliers… leur état et leur aménagement peuvent représenter un fort investissement.
- L’infrastructure de travail : carrière, rond de longe, marcheur, piste d’entraînement si orientation course ou sport.
- L’emplacement : proximité de structures vétérinaires équines, de centre de valorisation (concours, vente, centres équestres), d’un bassin de clients (clubs, cavaliers professionnels…).
- Les races élevées : certaines sont très demandées sur le marché français ou international, d’autres plus confidentielles.
- Les débouchés : circuits de commercialisation, valorisation locale, accès aux événements de la filière (concours, ventes, courses…).
Eloi vous accompagne dans chaque étape, de la définition de votre projet à la recherche d’une exploitation adaptée. Que vous cherchiez une ferme d’élevage de poneys dans le Massif central, un élevage de Trotteurs en Normandie ou un centre d’élevage polyvalent en Camargue, nous vous aidons à concrétiser votre projet.